Et nos amours
Faut-il qu’il m’en souvienne
La joie venait toujours après la peine.
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l’onde si lasse
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
L’amour s’en va comme cette eau courante
L’amour s’en va
Comme la vie est lente
Et comme l’Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine.
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
(G. Apollinaire)
Nem mesmo os amores mais sólidos e intensos conseguem resistir aos estragos da passagem do tempo... Enfraquecem, definham, extinguem-se, ou pelo menos transfiguram-se; e apoucam-se; e passam a existir de outro modo.
Olá Isabel, tão mas tão verdade estas suas palavras, e temos de saber aprender a viver com eles de outro modo...
ResponderEliminarSim, Helena; ou não. Depende. Podemos também decidir ir embora, que o caminho não volta para trás...
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