(Fotografia de Miguel Cordeiro de Sousa)
Homme libre, toujours tu chériras la mer !
La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme
Dans le déroulement infini de sa lame,
Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer.
Tu te plais à plonger au sein de ton image ;
Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur
Se distrait quelquefois de sa propre rumeur
Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. (...)
(É uma das minhas maiores paixões, misto de atracção e voragem, tumulto e calma, caos e harmonia, e tudo o que só se consegue sentir, antes e depois das palavras, no silêncio reconfortante do olhar.)
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